Une dame me sollicite pour la disparition de son maine coon.
Lors de la première Communication, je vois le chat assis devant une colline et j’ai la nette impression que celle-ci le sépare de sa maison. La dame me confirme qu’elle habite bien au pied d’une colline.
Au cours de la seconde Communication, c’est avec une particulière insistance que l’animal me montre un coucher de soleil derrière la colline, laquelle s’avère être bien à l’est de la maison. Je suis confortée dans ma tentative de localisation, un exercice qui n’est jamais simple…
Sentant qu’il souhaite vraiment rentrer chez lui mais qu’il ne sait pas comment s’y prendre, je lui suggère de gravir la colline en lui transmettant toute la force nécessaire. J’ai alors l’intime conviction qu’il va y arriver… ce qui s’avère exact dès le lendemain matin !
Je n’aurai peut-être jamais la confirmation du lieu où se trouvait le maine coon avant son retour à la maison, mais je me souviendrai longtemps de l’image particulièrement évocatrice du coucher de soleil, et plus encore peut-être de cette certitude qu’il allait réussir à rentrer chez lui !
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